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Garawal (amud o' awal)
J'éjaculai un texte différent de tout ce que j'avais écrit jusque-là : un crépitement de balles et une montée de hurlements étouffés. Par ce texte je compris que je devais m'engager une fois pour toute dans la voie de la guérilla linguistique ! Mais je devins complètement fermé pour autrui.
[...]
Je n'écoutais plus que le rythme saccadé des choses................{dixit Khaïr-Eddine}
(*) graine de parole - blog à céder !

laseine FreeCompteur.com
lundi, mai 30, 2005

5/30/2005 - On est jamais à l'abri des bonnes nouvelles !



près de 55% de français disent NON au TCE

cependant :
67% de OUI à Paris
80% de OUI dans les 7e et 16e arrondissements
Mais peut-être est-ce un hasard ?

Le peuple français rappelle qu'il existe avec fierté.
Il a pris les urnes comme lieu d'insurrection.
les français proclament qu'ils préfèrent être des moutons noirs que des moutons tout court
Les français ont fini par couper la tête à leur classe dirigeante... n'est-ce pas la seule chose qui puisse les faire taire...

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vendredi, mai 27, 2005

5/27/2005 - Demain j'écris !

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5/27/2005 - Lortografe

Il y a plusieures facons d’ecire McKinsey, en voici 2 :

Hassan

C'est vrai qu'au prix qu'on les payent ceux-là, on peut se permettre d'écorcher leur nom

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mercredi, mai 18, 2005

5/18/2005 - Les Bougon ou l’halka dans un packaging hollywoodien


Synopsis (copier coller)
La famille BOUGONest un clan de joyeuses petites fripouilles complètement en marge de la société, sympathiques, qui se donnent beaucoup de mal à magouiller, à préparer toutes sortes de petites combines "propres" afin de ne pas travailler et de ne jamais se conformer. Les Bougon sont des décrocheurs du système qui ne croient plus aux Hommes; ce sont des vautours qui s'accaparent de tout ce que la société produit en trop.
Ils sont sales, vulgaires, malhonnêtes, râleurs, incultes… mais heureux. L'ardeur et la débrouillardise qu'ils mettent à baiser ce système qui les baiserait s'ils n'étaient pas vigilants sont belles à voir. L'indifférence générale de la population et des institutions est la faille à travers laquelle ils se faufilent pour ramasser le magot. Traqués par cette justice inventée par et pour les quelques privilégiés, les Bougon multiplient les mensonges, graissent les bonnes pattes et demeurent unis par leur mode de vie.

La famille Bougon habite un grand 7 1/2 au deuxième étage d'un duplex. Leur logement est dans un désordre inimaginable. Les Bougon, c'est une espèce de famille Cor Leone à cinq cennes. Cette solidarité familiale, parfois mise à rude épreuve, est le moteur de chacun de leurs gestes. Pour le reste, c'est une vie beaucoup plus près de la nature humaine sauvage : la chasse, le troc, la survie, mais surtout la liberté. Dans le fond, ils font ce que certains téléspectateurs se disent par dépit : " Pourquoi travailler quand on peut gagner plus de pognon à ne rien faire ? " Dans les faits, cependant, leur existence est mille fois plus complexe que s'ils se dénichaient tout simplement un petit boulot honnête …

Les Bougon déjeunent au sarcasme, dînent à la dérision et soupent au cynisme. Et leurs repas ne sont jamais assaisonnés de scrupule …

Un extrait



Les Personnages
1. Paul Bougon : papa Bougon
2. Rita Bougon : maman Bougon
3. Dolorès : la fille. Elle travaille comme danseuse et pute
4. Junior : le gros fils analphabète
5. Mao : le petit chinois qu'ils ont adopté
6. Mononque : le frère de Papa Bougon
7. Pépère : le père de papa Bougon
8. Le propriétaire : à qui ils ont jamais payé le loyer
9. Le chien : un chiot qui boit de la bière. Il s'appelle Ben Laden
10. L'ami de la famille, policier de son état aussi pourri que les Bougon

Sur le site vous pouvez lirez la biographie des personnages ... Très drôle, vraiment !!!

Et voici un article du New York Times sur les Bougon, intitulé : "A Twisted Sitcom Makes the Simpsons Look Like Saints". Ici , Je crois qu'on ne peut pas lire tout l'article sur le site du Times car c'est payant. Par contre, on peut ici

L'Auteur
Le cerveau des Bougon c'est François Avard ... Prof de français et prof à l'Ecole de l'Humour de Montréal, Militant de gauche actif, et grand cynique devant l'éternel ...
Cette école est réputée et le festival Juste pour Rire de Montréal a été un tremplin pour plusieurs dont le marocain Gad El Maleh ... C'est là qu'il a commencé avec ses sketchs sur son grand père, juif Casablancais, et sur sa propre dépression en arrivant au Canada...

Ca doit être bien de gagner de l'argent en riant de soi, des fois de bon coeur et souvent bien jaune ...

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mardi, mai 17, 2005

5/17/2005 - Mer calme !


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vendredi, mai 13, 2005

5/13/2005 - blog














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jeudi, mai 12, 2005

5/12/2005 - Pub




Une pub pour un dentifrice !

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5/12/2005 - Printemps blanc verdâtre


Les pieds dans la farine de moutarde, je ne rêve que d'enfance et de quiétude. Les enfants, c'est la poésie même. Si seulement les poètes remplaçaient les ttlba*, notre religion aurait de la gueule, et les parfums seraient peut-être moins riches que l'ambre (secrétion du cachalots) et le musc (secrétion d'un cervidé) mais plus fins et plus raffinés.

Comme moi le printemps a atteint l'âge critique, je n'en vois pourtant que ces morbides pigeons gris duveteux rempli de poux, qui viennent "cacater" sur mes maigres géraniums de balcon.
A quand une nouvelle canicule pour débarasser Paris des vieux qui permettent à ces rats des airs de proliférer en les nourissant. Je manque certainement d'élégance, beaucoup en sont sûrs, non convaincus du bon droit de de chacun de vivre à sa guise. Je suis quelqu'un qui se laisse aller. En effet tous mes proches ont fondé une famille, c'est moi la cloche. J'ai même pas un chat. Il me reste les fissures qui lézardent mon plafond. activité intellectuelle et poétique exubérante en perspective, à la Georges Perec ou Pierre Sansot (qui vient de décéder cette semaine Dieu aie son âme ! ).

A présent que j'ai raté les fleurs des cerisiers de Sefrou, des orangers de Marrakech et des amandiers d'Imouzzer, mon espoir se reporte sur les rosiers, mes potes de Taroudant. Voilà!
D'aucuns m'accusent de jouer avec les morts.
En un sens, oui : j'écris un peu sur mes blogs et me souviens beaucoup d'avoir été jeune, beau, intelligent, riche et amoureux, il y a longtemps.

printemps blanc

* Cantillation du Coran, tahzzabt, par un choeur de ttlba du Haut Atlas. Versets 11, 12 et 13 de la sourate LVIII "La Protestataire".

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5/12/2005 - Colère noire


Ils disent que la femme est
Le dernier recours du combattant fatigué
Il est idiot de refuser un parapluie
Quand on sait qu'il va pleuvoir

Gardez vos mains dans vos poches et gardez ...
Vos mères et vos soeurs dans vos familles !
Et sachez qu'il n y a pas d'alternatives
Aux hommes qui se croisent, que la bataille

Je n'attaquerais pas le premier
Non parce que je crains de me battre
Mais parce que je redoute les règles
Que je ne connais pas et celles qui changent

Que les mendiants mendient !
Il est légitime de rester esclave
Et que les voleurs volent !
Il est juste de prendre à celui qui ne veut céder
Mais laissez moi payer le prix des choses

Si tu ne peux pas me donner ta gueule
tes yeux, tes cheveux, ta démarche, ton humour
Alors je ne veux plus rien donner et plus rien recevoir ...

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5/12/2005 - Une lettre qui n a jamais été postée


Hola ... ,

Aujourd'hui j'ai envie de te raconter cette histoire.

Elle commença vers 1880, lorsque mon grand-père fut chassé de son village natal. Lors d'une rixe, il avait tué accidentellement son cousin. Chez les berbères, les disputes étaient courantes à propos d'un pied carré de terrain, "l'kommit" était à portée de main et le banissement était la peine capitale.
Il entrepris un long voyage vers l'Orient, en accompagnant les caravanes commerciales du désert.
Il effectua un premier pèlerinage à la Mecque, puis à Jérusalem, avant de s'installer quelque part en Palestine ou en Jordanie.
Puis il rentra au Maghreb.
Il fût accueillit dans un autre village qui organisa la réconciliation et son retour dans sa terre.
L'histoire raconte que pendant ces années en Orient, il effectuait les rites de prières quotidiennes deux fois. Une fois pour sa poire (en son propre nom) et une seconde au nom de son cousin tué.
Quelques années plus tard, il refît le même pèlerinage à la Mecque au nom de son cousin tué.
De quoi devenir schizo ! Non ?

Il y a une distance de presque un siècle entre mon grand-père et moi. Mais j'ai le sentiment d'avoir entrepris le même voyage. Pour quelqu'un que je n'ai pas encore tué.

Durant des mois, je prenais soin de regarder ton horoscope en prenant mon café du matin au comptoir d'un bistrot. Quand je visitais une ville, je prenais le temps d'être avec toi par la pensée.
Avec le temps, les regrets se sont transformés en une secrète euphorie. Bien sûr, j'évitais d'en parler aux autres. Parce que c'est le genre d'histoire que l'on tolère en blog, mais pas dans la vie quotidienne, sous peine d'être taxé de lourd dingue, stupide, déjanté ou je ne sais quoi encore.

Cette manière de vivre hors du monde conduit fatalement à une solitude parfois difficile, mais joyeuse. Ce que je ressentais s'accommodait difficilement de la fadeur des temps passés à tourner les uns derrière les autres, comme des aveugles dans la nuit.

Il y a un millier de petites choses qui me font tripper; des gens, la musique, les voyages, les matchs de rugby des All blacks, les contes de Jorge Luis Borges, les tirbulations de Georges Perec, les strophes catastrophes de Jean Baudrillerd, mon quartier, des bistrots, les cartes postales du bout du monde, les shows et les textes de l'humouriste algérien Fellag, la paella, Montréal.
J'aime beaucoup la littérature. Je rêve souvent. Des fois, je rêve les yeux ouverts.
Mais, je ne ressens plus le besoin d'écrire, ni de prendre des photos.
J'ai besoin surtout d'être indépendant et efficace dans mon travail.
J'essaie de faire en sorte que mon temps libre augmente et que mes revenus et mes envies de consommation s'équilibrent.

Je pense que t'avoir rencontrée est la chose la plus importante qui me soit arrivée.
Je n'avais pas de plan de vie. Juste confiance dans ma bonne étoile.
Un jour, chez mon amie ... , j'ai ouvert les yeux sur une jolie femme du nom de ... et j'ai été ébloui.
Quelques jours plus tard tu étais là, attablée dans ma cuisine, plus éblouissante que tout.
Que pouvait faire le petit berbère fougueux et maladroit, que j'étais, de ses mains, de ses doigts ? Je me suis accroché à celle qui semblait me ressembler.

Je te dirais la suite quand je serais guérie de ma névrose quand je deviendrai une seule personne. Je le dirais quand seront réconciliés en moi la ville et le désert
quand toutes les tribus quitteront les plaines de mon sang. quand je me libérerais du tatouage bleu que les sages d'Afrique ont gravé sur mon corps et de toutes les ordonnances de la médecine arabo-berbère que durant vingt, trente, quarante années j'ai subies.

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mardi, mai 10, 2005

5/10/2005 - Une vidéo en berbère

un "ONE MINUTE FILM" en berbère,
glané sur Internet.
Attention ! contenu mature !!!

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5/10/2005 - NO COMMENT


el moujahid

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5/10/2005 - TIFINAGH (anonymous)



écoutez bien les paroles de ce raïss anonyme



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5/10/2005 - lhadj blaïd (sacrément engagé)




je redécouvre avec un immense plaisir la voix et la poésie de ce raïss grandiose

Lligh nZRa ddunit ura sul gis it kun umya
NRZM i lkhbar uraghak sul ssihiln
Ggizn izrgan lhf n tasa ar gh issihiln
Alligh yuf adak ikhlu yan iskr is innufl
Alligh yuf adak ikhlu yan iskr is innufl
Inna ymiddn hayyi khligh isrru liman nsn
Itabâa midn gh inufl ayna ran artitinin ya
Ar bdrgh imgharn d willi nu chikh lkhiR nsn
S wafulki ayaadln han yan ura Zrigh lîibnsi
A nRZm i lHmum anluh kra f'lkhuTur ngh
A nRZm i lHmum anluh kra f'lkhuTur ngh
A yahbib ZMZiy ar nmQQuR ar n tmun
Ur giwn Zrigh bla nniyt urasn ttugh lKHiRnnk
Imil ghir bDunagh didun inwwachn
Imil ghir bDunagh didun inwwachn
Alah lkhabaR lli nchrk amagh i lmahayn
AlaH lkhabaR lli nchrk amagh i lmahayn
Iqqimd anggal nshaDR myya n chikhinu
Nfk lâaHd i gratnh sul urak nttamni
Ifoulki ighur nga anmun awinou tinitaght
Ifoulki ighur nga anmun awinou tinitaght
Ifoulki ighur nga anmun awinou tinitaght
Tamunt ur tgi ghir lkhaTr igh mwafaqn
Ighur iDHiR LFDL iyan masul ira takrrayt
Ighur iDHiR LFDL iyan masul ira takrrayt
Nqund guik a zzin ini trit aylli ura TTifgh
Nqund guik a zzin ini trit aylli ura TTifghi
Mta kn iqadda wayda nw ikutin nuwid laâdul
Adawnt nara isig winnun adak ur n ttaHlm
Ima ghir Tmiinw ura strarn iJaRifn
Ima ghir Tmiinw ura strarn iJaRifn
Ima aïda midn gantin gh'tsura d iâassasn
Ima aïda midn gantin gh'tsura d iâassasn
Isnga amaâDuR ikhlan ak ur ilin laaql
Isnga amaaDuR ikhlan ak ur ilin laaql
Igh nzra middna ... nassi nit tarikti
Igh nZRA lâabn iysan nigh raanskr winw
...
Nnigh ya yadran ikhf ns ur illi matn yufn
Nnigh ya yadran ikhf ns ur illi matn yufn
Iqand ad âdrah ikhfinu yan usggas nigh sin
Nigh tak âadrah achku mnâan iwaliwn
Turridja n grasn s ukchuD urasnt nZDaR
mla tgui touggass ...
mla tgui lhdir yumn ufulouss as tikhasm
Arant lbaRuD d RSaS mnâan iwaliwn
Ur nZDaR aggitngh yaru yan lQortass nssi
A winu bidda aserk sawalgh ini tlla nniyt
A winu bidda aserk sawalgh ini tlla nniyt
Sin ur tli lkemgh tawurinw tlkmt tink
Tmund d imghDaRn nigh tumZt afus i ymghaRn
Tmund d imghDaRn nigh tumZt afus i ymghaRn
AllaH n hadda a yan muknnigh ayawalinu
AllaH n hadda a yan muknnigh a ya walinu
IhDutn yajjit ar ghi nnagh ida ira yinitn
IhDutn yajjit ar ghi nnagh ida ira yinitn
Tnnit n i laâdu makrigh awa sul ola awalnki

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jeudi, mai 05, 2005

5/05/2005 - Post Google


Avec "Google print" l'empire ce n'est plus les USA mais GOOGLE SA c'est pour bientôt "Google sprite" qui ne se contentera plus de chercher dans les mémoires des ordinateurs connectés mais au-delà !!!

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5/05/2005 - Just for fun


la states'attitude est obsolète place à la china's attitude

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5/05/2005 - Sondage ATTENTE

    1. Tu attends quoi ?
    2. Tu fais quoi en attendant ?
    3. Qu'en sera-t-il si ça n'a pas lieu ?

____
1. je ne sais pas
2. je ne sais pas
3. je ne sais pas
____
1. la mort
2. je me meurs
3. je me tue
____
1. la femme de mes rêves, le prince charmant
2. j'attends
3. je vais mourir seul (e)
____
1. un job
2. je blog
3. j'immigre (en Australie)
____
1. l'inspiration
2. rien
3. ça sera une autre nuit
____
1. la fortune
2. je bosse dur et me faits des illusions
3. je bosserais encore plus dur et me ferais encore plus d'illusions
____
1. l'amour
2. je rêve
3. je me masturbe
____
1. un enfant
2. je baise
3. j'adopte un chien
____
1. la nuit
2. je regarde par la fenêtre
3. j'appréhende
____
1. la nuit pour dormir
2. je dors
3. la nuit viendra
"Achkid awa angoon sigh raddagh ngoon ..."
____
1. lui
2. elle
3. un autre
____
1. draguer une femme
2. en draguer une autre
3. en draguer une autre encore
____
1. un sens pour la vie
2. je cherche une réponse
3. je chercherais encore
____
1. le repas
2. je mange
3. j'aurais faim
____
1. le bonheur
2. le travail
3. la mort
____
1. rien
2. rien
3. rien
____
1. je ne sais pas
2. je fais des hypothèses et des supputations sur la nature de ce que j'attends
3. je ferai d'autres hypothèses et d'autres supputations sur le pourquoi de son absence
____
1. la fin de ce long tunnel
2. je contemple le noir
3. je broie du noir

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5/05/2005 - ...::: rester partir :::...

ha howa baychaal ! ha howa baytfa !

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mercredi, mai 04, 2005

5/04/2005 - Cool memories V

Jean Baudrillard vient de sortir le cinquième volume de ses "Cool Memories". (Galilée mars 2005)


Voici un avant goût de ses sécullents aphorismes :


1 - "Il est presque normal de mener une vie double quand on est seul. C'est plus difficile à deux"
2 - "Enfin un vrai fou dans la rue - quelqu'un qui n'a pas besoin de téléphone cellulaire pour parler tout seul."
3 - "Il y a lieu d'être jaloux d'être vu par d'autres de l'extérieur et de n'avoir de soi que ce miroir déformant : la connaissance de soi."

suite

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lundi, mai 02, 2005

5/02/2005 - Une voix me squatte


Métro aérien Barbès Belleville à l'aube. Rien de tel pour replonger dans "la mère du printemps" de notre ami Driss. J'entends des murmures qui me rappellent un fakir tidjani balbutiant ses prières. la voiture était pourtant vide me semble-t-il. Je ne me suis pas retourné. Rien à dire, rien à prouver, rien à offrir, rien à attendre. Je ne décroche pas de la narration de Driss du rêve de Oqba ibn Nafi d’"ensemencer les hommes et la terre des homes avec les graines de Dieu". Garamud ! "Raho Aït Yafelman cheminait, l'allure fière, le long de la route ... à l'embouchure du fleuve Oum-er-Bia".Tandis que chevauchent les chevaux de la locomotive de la ligne bleue, les murmures se font voix. Féménine. Douce et saccadée. Je me tate le front. la voix se précise : la suite ici

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dimanche, mai 01, 2005

5/01/2005 - Ombres, coquelicots et paraboles


le matin au Jardin des plantes, l'après-midi au Parc folral (Vincennes).
Les coquelicots sont splendides. La nostalgie me submerge. j'ai envie de regouter ce qui n'était pour moi que KAWSH.
Mais les gardiens veillent.
Je me remémore alors les temps où je m'entrainais à résoudre des équations elliptiques, dans des champs tapissés de fleurs rouges et jaunes. (pour pouvoir partir !).
j'aimerais tant recommencer ...
dire qu'à l'époque je m'engouffrais de coquelicots ! J'avais alors la langue et les lèvres violettes.
Une consolation : Ailleurs est partout et nullepart et ...
l'ombre et le coquelicot sont par là.

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